Adresse: Hôtel de ville, 42 place Abel-Surchamp, 33505 Libourne
Téléphone: 05 57 55 44 33
Contacts: Thierry Saumier, directeur : tsaumier@mairie-libourne. fr ;
Estelle Moulineau assistante en régie des oeuvres : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Présentation: Le musée des Beaux-Arts de Libourne fut créé en 1818 par le duc Elie Decazes, originaire de Libourne, ministre de la police, puis de l'intérieur de Louis XVIII. C'est sur son intervention que l'Etat envoie un premier fonds de tableaux anciens en 1820 qui sera suivi d'autres dépôts en 1837, 1872, 1877, 1880, 1956 … Le Musée s'enrichit aussi grâce à des legs, des donations et des achats. Il renferme notamment des œuvres anciennes italiennes du XIV au XVIIè siècle, hollandaises du XVI et XVIIè siècle, françaises du XVII et XVIIIè siècle, mais aussi des toiles et des sculptures plus contemporaines.
D'abord installé dans le couvent des Ursulines il est depuis 1836 situé au 2e étage de l'hôtel de ville. Les salles d'exposition permanentes ont été rénovées en 2005 et la chapelle du Carmel à quelques centaines de mètres est dévolue aux expositions temporaires. Le Musée a obtenu le label musée de France.
Références 2018 :
Archives du Musée des Beaux-Arts de Libourne
Decourchelle D., 1992, Etude sur la collections Pérès du Musée municipal des Beaux-Arts et d'Archéologie de Libourne (Gironde), mémoire d'étude réalisée dans le cadre d'une bourse accordée par la mission du patrimoine ethnologique, Ministère de la culture
Lavondès A., 1984, Catalogue des collections ethnographiques océaniennes Libourne, document tapuscrit
| Photo | Objet | Description |
|---|---|---|
 | 887.1.5 | Objet est très intéressant bien qu'il ait perdu toute la décoration en plumes et en graines, car il permet de voir la structure de l'objet et de comprendre comment il a été conçu. Il a été positionné suivant son mode de stockage traditionnel, sur une portion de tronc de pandanus creux entourée d'une... |
 | 887.1.63 | Très petit hameçon composé. A une nacre de forme losangique est accroché à une extrémité en deux points une pointe cassée en écaille de tortue et un lien épais en fibres végétales toronnées qui rejoint l'autre extrémité de la nacre et passe à travers deux trous biconiques où il est lié à une plus f... |
 | 887.1.332 | Cet objet est en trois parties : un manche, une pièce rapportée aussi en bois et une lame en bénitier. Le manche de section circulaire est une branche droite dont l'extrémité proximale a été peu travaillée. A sa partie distale coupée en biais et aplatie est liée avec des torons en fibres de bourre... |
 | 887.1.56 (le petit) | Sur une grosse tresse traditionnelle des Îles Marquises en fibres de bourre de coco, sont attachées régulièrement et serrées de nombreuses touffes de cheveux frisés. Ils sont réunis ensembles par des liens en écorce ou en fibres de bourre de coco. Cette natte se termine à une extrémité par une boucl... |
 | 887.1.56 (le plus grand) | Une grosse tresse traditionnelle des Îles Marquises dont les liens sont des ensembles de plusieurs fibres de bourre de coco emballés dans des écorces, sur laquelle sont attachées régulièrement et serrées de nombreuses touffes de cheveux frisés. Ils réunis ensembles par des liens en écorce. Cette na... |
 | 887.1.65 | La partie supérieure du coquillage a été arasée avec création d'une ouverture circulaire au bord tranchant. |
 | 887.1.66 | La partie supérieure du coquillage a été arasée avec création d'une ouverture circulaire au bord tranchant. |
 | 887.1.123 | Tige épointée façonnée dans un os long. Elle est de section circulaire et est percée à son extrémité proximale plate d'un trou biconique. |
 | 887.1.58 | Tête de pilon à épanouissement axial, séparé en deux lobes par une dépression médiane. Chaque partie latérale est sculptée très finement en creux d'une tête qui porte les traits caractéristiques des tiki marquisiens : de grands yeux latéraux cerclés ; un nez épaté ; une large bouche entrouverte qui... |