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Gap

Adresse : 6, avenue du maréchal Foch, 05000 Gap

Téléphone : 04 92 51 01 58

Contacts : Frédérique Verlinden, directrice : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Jean-Louis Mammi, régisseur technique des collections : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Site : museum.hautes-alpes.fr

Historique :

Le premier musée de Gap nommé Musée Central du Département des Hautes-Alpes est à l’initiative du baron de Ladoucette, alors préfet des Hautes-Alpes. La première pierre de cet édifice a été posée, le 9 thermidor an XII (samedi 28 juillet 1804)

Ce Musée, nous dit encore l’Abbé Guillaume, renfermait des objets nombreux et intéressants, provenant surtout des fouilles faites à la Bâtie Montsaléon en 1804-1805.

Il est hébergé jusqu’en 1825, dans les bâtiments de l’ancien séminaire diocésain. Il sera semble-t-il ensuite installé à la mairie, en fait c’est le cas en 1868, au moins pour les collections géologiques et minéralogiques. Un arrêté municipal est publié cette même année qui décide que les diverses collections de botanique, de minéralogie et d’archéologie seront réunies sous le nom de « Musée de Gap ». Jusqu’à la fondation du Musée Archéologique des Hautes-Alpes dans les années 1870, les trouvailles archéologiques réalisées dans la région vont enrichir les collections des musées d’autres départements

La Société d’Études des Hautes-Alpes créée en juillet 1881 aura destin lié avec le Musée Archéologique. Ainsi son secrétaire, l’archiviste de la commune et le responsable du Musée, l’abbé Guillaume écrit : « les collections du département des Hautes-Alpes appartiennent en partie au département et en partie à la Société d’Études […] Les locaux où sont placés les collections, sont la propriété du département, mais la Société d’Études en a la jouissance ». En effet, en août 1881, le Conseil Général avait fait l’acquisition, de la maison Merlin, attenante aux archives départementales. Les collections du Musée sont transférées à partir de l’année suivante au rez-de-chaussée de cet immeuble. Rapidement, le volume des collections très variées devenant si important, qu’il est nécessaire de louer un autre local. Ces espaces sont est bientôt insuffisants quand Gap reçoit en 1892, le legs de Léon Olphe-Gaillard, une très riche collection d’ornithologie et sa bibliothèque, avec l’obligation pour le département d’installer le musée dans un bâtiment convenable.

« Une souscription décidée le 23 mai 1901 par la chambre des députés, autorise un tirage de la Loterie Nationale au bénéfice de la construction de l’actuel musée qui sera ouvert au public en septembre 1910.

« Au cours de son premier siècle d’existence, le Musée Muséum départemental a permis la collecte de collections de collectionneurs. Elles ont été principalement constituées par des haut-alpins, qu’ils aient résidé dans le département ou dans d’autres contrées du monde. Personnalités culturelles et scientifiques, associations savantes comme la Société d’Etudes des Hautes-Alpes et les Amis du musée, réseau vif de partenaires, publics captifs, équipe mobilisée, contribuent, à donner un visage humain au fonctionnement de cet établissement, passeur de mémoire. »

Références en novembre 2020 :

https://museum.hautes-alpes.fr/4023-histoire-du-musee.htm

PhotoObjetDescription
2009.0.76
2009.0.76

Cet objet rassemble 6 perles en os ou ivi poo, 3 de chaque côté, enfilés et réunie à l’une des extrémités par un nœud (qui semble réalisé avec des fibres végétales occidentales, à vérifier et des fibres e n bourre de coco) et de l’autre coté par de nombreux faisceaux de poils dits en barbe de vie...

2007.0.347
2009.0.347

Très bel objet. Cette bague comprend plusieurs éléments rassemblés ensemble. Une perle réalisée dans un os long humain très délicatement sculpté d’un tiki. Ce ivi poo qui présente toutes les caractéristiques de ce type d’objet : Sous un fin double bandeau, une tête disproportionnée avec des yeux...

2009.0.286
2009.0.286

Très bel objet. Cette bague comprend plusieurs éléments rassemblés ensemble. Une perle réalisée dans un os long humain très délicatement sculpté d’un tiki. Ce ivi poo qui présente toutes les caractéristiques de ce type d’objet : Sous un fin double bandeau, une tête disproportionnée avec des yeux...

2009.0.297
2009.0.297

Ce long bâton cylindrique très délicatement poli, noirci et patiné est recouvert à son extrémité supérieure par un manchon en fibres de bourre de coco très finement tressées. Il est décoré de motifs traditionnels réalisés avec des surliures noires en cheveux et rouges, en laine ou en coton : dami...

2009.0.355
2009.0.355

Il rassemble les caractéristiques d’un étrier traditionnel : il est sculpté en atlante d'un tiki portant une parure de tête rappelant une coiffe de plumes (taavaha), le dessous de la pédale. Il est entièrement couvert de striures en relief évoquant des tatouages ou des tressages...

2009.0.356.1
2009.0.356.1

Il est sculpté en atlante d'un tiki portant une parure de tête rappelant une coiffe de plumes (taavaha), le dessous de la pédale. Il est entièrement couvert de striures en relief évoquant des tatouages ou des tressages, striures obliques ou droites, parallèles…Cette statuette pr...

2009.0.356.2
2009.0.356.2

Il rassemble les caractéristiques d’un étrier traditionnel : il est sculpté en atlante d'un tiki portant une parure de tête rappelant une coiffe de plumes (taavaha), le dessous de la pédale. Il est entièrement couvert de striures en relief évoquant des tatouages ou des tressages...

2009.0.298
2009.0.298

Objet monoxyle en deux parties une pale et un manche. La pelle est de forme ovale très allongée et de section lenticulaire aplatie, aux bords arrondis. Elle est épaisse et occupe près de la moitié de la longueur de l’objet. Le manche cylindrique est comme tout la massue, très délicatement noirci...

2009.0.79
2009.0.79

Sur une large tresse marquisienne (tressage en épi) en fibres de bourre de coco sont accrochées des touffes de cheveux noirs frisés. Ils sont attachés par des entortillements très serrés en fibres végétales bourre de coco. La tresse est terminée à chacune de ses extrémités par une boucle, dans le...

2009.0.151
2009.0.151.1

Sur une large tresse marquisienne (tressage en épi) en fibres de bourre de coco sont accrochées des touffes de cheveux noirs frisés. Ils sont attachés par des entortillements très serrés en fibres végétales bourre de coco. La tresse est terminée à chacune de ses extrémités par une boucle, dans le...

2009.0.151
2009.0.151.2

Sur une large tresse marquisienne (tresse en épi) en fibres de bourre de coco sont accrochées des touffes de cheveux noirs frisés. Ils sont attachés par des entortillements très serrés en fibres végétales bourre de coco. La tresse est terminée à chacune de ses extrémités par une boucle, dans lesq...

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